jeudi 31 mai 2007
mercredi 30 mai 2007
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 20:32
mardi 29 mai 2007
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 20:22
jeudi 24 mai 2007
autant qu'un avant-goût d'été.
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 21:54
mercredi 23 mai 2007
Les vaudois, ils font que copier les genevois
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 22:21
samedi 19 mai 2007
Le blog de Catherine me laisse sans voix, alors vous y renvoie, le lien est un peu plus bas à gauche Pour un monde meilleur partout.
Les week-end sont faits pour se rendre visite et ici partager un sourire amer.
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 11:34
vendredi 18 mai 2007
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 20:50
mardi 15 mai 2007
Ville de Genève. Le Conseil administratif gratifie aujourd'hui ses citoyens tant aimés d'un communiqué de presse qui annonce très solennellement qu'il ne dira rien quant à l'organisation future de son travail "avant plusieurs séances".
Voilà près de trois semaines que cinq hommes (et femme) essaient de se répartir cinq portefeuilles et l'on doit comprendre qu'à ce jeu de chaises musicales (version belge) plusieurs semaines sont sans doutes encore nécessaires pour que chacun trouve son tabouret.
Que leur dire, sinon que si voilà deux mois que la Ville de Genève n'a plus de gouvernement politique, campagne électorale exige, et que si cela durait encore quelques semaines, personne ne verrait pourtant la différence. Même le catalogue des horreurs (voir mon blog précédent si besoin) se complète comme à l'accoutumée.
Poursuivez donc vos disputes et soyez rassurés, personne ne vous attend plus nulle part. Et la prochaine fois, pour vous faire élire, ne faites donc plus tant de bruit !
PS : L'illustration, empruntée à une installation d'Hirschhorn exposée ces jours à Beaubourg, y est décrite comme le triste constat que les sottises de l'homme n'ont ni début ni fin.
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 22:08
jeudi 10 mai 2007
Genève a-t-elle lu les Conventions de Genève ?
Dans sa tour d'ivoire, le Maire de Genève et ses adjoints se protègent, non contre l'opposition dont chacun souhaite qu'elle lui fasse la vie difficile, non contre la presse qui guetterait ses faux-pas, non encore contre quelques adversaires de circonstance, mais contre la jeunesse, celle-là même qu'elle dit choyer, celle-là même encore qui constitue son fond électoral.
Le voilà donc nos maires (avec un m minuscule, un tout petit m) qui tissent autour de leur palais une barrière d'ultrasons qui agresse les jeunes de moins de 25 ans, et ceux-là seulement. Miracle et perfidie de la technique...
Dans la presse, la cause prête à rire ce matin. Est-ce vraiment le ton juste que de rire ? Ce même maire, ne nous a-t-il pas proposé il y a quelques semaines de dépenser l'argent par centaines de milliers de francs pour garantir le confort des pigeons ? Simultanément et secrètement il installe et use une arme sournoise et la dirige contre la tête de nos enfants. "Ca faisait mal" confient-ils aux journalistes. Et l'arme des ultrasons n'est sans doute pas permise par les Conventions de Genève.
N'est-ce pas là le comportement des pires dictateurs que d'agir contre le bien-être de sa propre population ? Notre maire ne voit-il pas que c'est contre l'Etat de droit lui-même qu'il agit, ne voit-il pas que les lésions dont auraient à souffrir les enfants constituent des délits de lésions corporelles dans la meilleure hypothèse ou pire un crime d'exposition ?
Que reste-t-il de "l'esprit de Genève", comment a-t-elle pu mettre en place un tel gouvernement et pire encore, lui renouveler sa confiance il y a 10 jours à peine.
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 18:51
mercredi 9 mai 2007
Dura lex, sed lex
On peut en saluer le confort promis : 64 cellules individuelles avec TV, frigo, interphone, sanitaires... Un autre débat est celui entrepris par le Grand-Conseil qui s'interroge pertinemment sur l'opportunité de bien trop nombreuses détentions et dénonce les carences de l'Autorité qui y préside. Alors le confort proposé ne compense ni ne répare l'inutilité de la détention.
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 15:56
mardi 8 mai 2007
Vanités
Une législature s'achève et la Ville de Genève fait le ménage. Elle retrouve des projets envoyés par centaines qu'elle écarte de quelques mots qui disent son désintérêts.
Pour le publier une forêt s'est évanouhie, alors j'imagine chacun de ses arbres bien inutilement coupés :
la peine ressentie, si souvent moteur de l'idée,
la dispute qui préside à sa formulation,
le vote qui se conquiert,
l'étude qui fait la "société civile" s'en mêler,
et le vote encore, final cette fois, qui fait de la peine d'alors déjà bien plus qu'une promesse.
Et lire sous la plume du Conseil administratif tandis que le temps a passé son désintérêt inspiré autant par la paresse que le mépris.
À ces arbres abattus, en guise d'oraison, dédier ces mots empruntés à Henri Michaux :
"Et le chef faisait force gestes de protestations, mais sa voix était devenue si petite qu'on se demandait qui aurait accepté de tenir compte de ce qu'il disait, comme si un grain de riz s'était mis à parler" (tiré de Plume)
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 20:55
lundi 7 mai 2007
Quel sourire !
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 22:48
dimanche 6 mai 2007
Réconciliation
Publié par Jean-Marc Froidevaux à 11:35